
1 - Les rayonnements des champs électromagnétiques artificiels issus des micro-ondes ont un impact sur toute matière vivante, (ondes de 300 mégahertz à 300 gigahertz = hyperfréquences = micro-ondes).
2 - Conformément aux lois de la physique universelle, toutes les études scientifiques réalisées dans le monde démontrent que suite à une irradiation hyperfréquences ou micro-ondes il est observé des effets thermiques et des effets spécifiques dits athermiques. Ce sont les chercheurs russes qui ont décrit les premiers, dès 1960 les effets spécifiques et le syndrome des micro-ondes ou syndrome des hyperfréquences qui les caractérisent chez l'homme.
Par la suite, cela sera confirmé par une première publication au NCBI en 1998 qui précisera le lien entre ce syndrome et l'exposition à des hyperfréquences pulsées.
- Référencement des études scientifiques mondiales sur les effets des CEM artificiels.
- Des milliers de Médecins lancent des appels.
- Une vaste étude de terrain a été publiée par l'Office Fédéral de la Santé Publique Suisse portant sur la consultation de 342 Médecins généralistes, elle attribue au minimum cinq pour cent de symptômes de la population aux irradiations des champs électromagnétiques, pareillement en Allemagne.
3 - Analyse de toutes les études scientifiques mondiales sur les effets des hyperfréquences sur l’humain :
A) Contrairement aux messages couramment véhiculés par certains, aucune étude au monde n’a prouvé l’innocuité des irradiations artificielles électromagnétiques des micro-ondes sur le vivant.
B) A ce jour, la quasi totalité des études scientifiques réalisées dans le monde, qui ne sont pas financées en totalité ou en partie par les industriels des télécommunications mobiles, démontrent non seulement des effets biologiques, mais aussi des effets dits sanitaires sur le vivant (impactés : humain, faune, flore, climat). Exemple : étude scientifique UCL du Docteur Dirk Adang. Des modifications de l'ADN ont également été confirmés par la grande étude REFLEX réalisée par la Communauté Européenne.
C) L’étude scientifique internationale INTERPHONE du Centre International de Recherche sur le Cancer est axée sur les effets du téléphone mobile, globalement ses résultats sont sans appel, notamment au niveau des tumeurs.
4 - L'interaction des champs électromagnétiques des hyperfréquences avec le métabolisme bioélectromagnétique humain génère le Syndrome dit des micro-ondes ou des hyperfréquences.
Le syndrome des micro-ondes est caractérisé par des mécanismes et des effets en phases d'alarme et de résistance :
- 1er cas, la phase d’alarme :
Le cerveau soumis à une stimulation ponctuelle de rayonnements électromagnétiques artificiels de type micro-ondes déclenche des réactions spécifiques de l’organisme impliquant des réponses : - neuronales, neuroendocrines, métaboliques et comportementales.
A) Ces réponses se classent dans le schéma général d’adaptation au stress d’un individu, ceci de manière plus ou moins adaptée.
B) La prise en charge de ou des éléments stresseurs (irradiation, etc...) se réalise par :
- le Système Nerveux Central (SNC),
- le Système Nerveux Périphérique (SNP),
- le Système Endocrinien (SE).
Ces réponses se divisent en 3 stades :
1 - Réception du stresseur par les organes sensoriels et leurs innervations afférentes.
2 - Programmation de la réaction au stress au niveau du cortex et du Système Limbique (SL) (amygdale, bulbe olfactif, hippocampe, septum, corps mamillaire...). le couple Cortex/SL est un système d'analyse comparative utilisant comme banque de données des "souvenirs" issus d'expériences. Ainsi, le cerveau compare la situation nouvelle à des expériences passées afin d'élaborer une réponse adaptée.
3 - Déclenchement de la réponse de l'organisme via l'amygdale et l'hippocampe qui agissent sur l'hypothalamus et la formation réticulée du tronc cérébral afin d'activer le Système Nerveux Végétatif (SNV) et le SE (glandes surrénales). L’amplitude de l’alarme est régulée par le Système Limbique (SL).
2ème cas, la phase de résistance :
Suite à la phase d’alarme, si l’exposition à l’élément stresseur persiste même à faibles doses (ex : irradiation par les antennes relais) ou devient chronique (ex : irradiation d'un utilisateur en addiction au téléphone mobile qui ne respecte pas l’autorégulation du corps par rapport à l’indice DAS de son mobile), il résulte que l’hypothalamus, etc ... va analyser ces stress constants et activer la sécrétion des diverses hormones.
Malheureusement, en règle générale l’humain exposé à ce type de rayonnements artificiels ne possède pas dans son "répertoire cognitif" de stratégie préétablie pour se défendre efficacement contre ce type d’agression, donc la stimulation hypothalamique entraîne une réponse générale stéréotypée inappropriée à ce type d’agression, ... ce qui souvent en accroît l'impact négatif, (affaire du collège de Chabeuil France).
- Concernant le métabolisme de certaines personnes cela va bien " se passer " temporairement pendant une période pouvant atteindre quelques jours à plusieurs décennies, néanmoins leur capital santé est tout de même rapidement hypothéqué. Des pathologies " habituelles " apparaissant vers le troisième âge, risquent d’apparaître précocement telles que des maladies neurodégénératives.
- Concernant le métabolisme de toutes les personnes en état de faiblesse (malades, âgées, fœtus, bébés, etc ...), il se produit un épuisement rapide et une dérégulation de tous les systèmes nerveux et endocrinien, donc de l’ensemble du système immunitaire.
L’organisme étant "dépassé", l'épuisement est atteint, de plus cet état est un terrain favorable à des sécrétions élevées en glucocorticoïdes qui ont un effet suppresseur sur l'immunité, ... Ceci va favoriser (être co-promoteur) et déclencher l’apparition d’un certains nombres de pathologies connues, c’est l’aboutissement de ce mécanisme que l’on appelle le Syndrome des micro-ondes. Pierre Le Ruz, Docteur en Physiologie.
>> Pathologies courantes résultantes du syndrome des micro-ondes (liste non exhaustive) :
- Syndrome asthénique chronique : fatigabilité, nausées, céphalées, anorexie, irritabilité, stress, dépression, suicide.
- Syndrome diencéphalique chronique : somnolence, insomnie, malaises, difficultés de concentration, vertiges, troubles sensoriels, pertes de concentration, fatigue chronique.
- Syndrome dystonique cardiovasculaire : bradycardie, tachycardie, hyper/hypotension, athérosclérose.
- Pathologies cancéreuses : leucémies, glutathion et mélanome, cancers du sein, ...
- Pathologies neurologiques : Alzheimer (oligomères bêta-amyloïdes et mélatonine), aphasie, ...
- Pathologies dopaminergiques : Parkinson, les jambes sans repos, perte de sensibilité des 4 membres, bras serrés au réveil, crampes dans les membres, démangeaisons (électrisation), ...
- Pathologies dermatologiques : dermatites, dermatoses, eczéma, psoriasis, plaques rouges, irruptions cutanées diverses, ...
- Pathologie pré et post-natale : forte prématurité (souvent avant ou vers l’âge gestationnel), fœtopathies "toxiques", fausses couches, retard de croissance, biométriques, modification du génotype, puis modifications pubertaires (dont baisse QI associé à l'ouverture de la barrière hémato encéphalique), autisme.
- Pathologie procréative : chaîne d'ovaires impactée, diminution du sperme (infertilité), ...
- Pathologie hypogonadisme : diminution drastique de la libido (hormone folliculo-stimulante).
- Pathologie du cerveau : tumeurs, perturbation de l’électroencéphalogramme, ouverture de la barrière hémato encéphalique, ...
- Pathologies courantes : perturbations auditives (acouphènes), visuelles, saignements de nez, altération numération formule sanguine (taux élevé lymphocytes et inférieur hémoglobine), saignements gencives, fibromyalgie, allergies, asthme, névralgie dentaire (électrogalvanisme).
- Pathologies psychiques : indifférence, introversion, passivité, résignation, dépression, suicide, anorexie mentale, ... Activité cérébrale (contrôle comportemental, inhibition), ...
- Troubles du comportement socioprofessionnels : irritabilité, inconfort, risque d'accidents accru, stress, dépression, ...
Le syndrome des micro-ondes et le suicide
Hypophyse, Glandes Surrénales, Stress, Suicides
Un état d'alerte active un processus hormonal basé sur les glandes endocrines. L'hypophyse est une glande endocrine qui active et régule les glandes surrénales qui produisent notamment le processus de l'hormone du stress.
Toute pollution exogène de l'hypophyse par une irradiation artificielle de fréquences micro-ondes engendre des sources de perturbations et de désordres. En tout état de cause une irradiation pérenne de micro-ondes en fréquence 2169 MHz (UMTS) de 10 000 000 µW/m² (61V/m) qui est la française norme actuelle est létale : en conséquence et en d'autres termes les seuils officiels d'irradiations opposables légaux en France doivent être immédiatement et impérativement mis en adéquation avec la santé humaine.
Mécanismes engendrant des troubles du comportement : irritabilité, stress, dépression, suicide
Les conséquences sur la santé d'un élément ou d'une conjonction d'éléments stressants, voire chroniques comme une irradiation artificielle associée à un harcèlement, provoquent des impacts négatifs sur l'organisme qui peuvent parfois aboutir au suicide.
Dans sa phase d'alarme le stress est une action positive de réponse métabolique salutaire (ex: faire face à une situation d'urgence) : l'hypophyse inverse immédiatement les glandes surrénales qui libèrent l'hormone du stress (l'adrénaline). Celle-ci agit sur le système cardio-vasculaire, les vaisseaux se contractent et la pression artérielle augmente, dans ces conditions le cerveau étant mieux irrigué est plus apte à élaborer la réponse adapté à l'élément stresseur.
Si l'élément stresseur persiste même à faible dose (ex: irradiation ou harcèlement, ou les deux!) ou de façon chronique, l'hypothalamus etc... va analyser les stress afin d'activer la sécrétion par les glandes surrénales d'autres hormones comme le cortisol qui régulera notamment le taux de sucre nécessaire aux muscles et au cerveau.
Si la situation perdure ou devient chronique, l'organisme finit par s'épuiser (phase d'épuisement), les hormones sécrétées s'accumulent dans le sang et finissent par nuire à l'organisme. De plus, en cas d'irradiation artificielle par les micro-ondes, les glandes endocrines ne possèdent pas de répertoire cognitif de stratégie préétablie pour se défendre efficacement contre ce type d'agression, donc la stimulation hypothalamique entraîne une réponse générale stéréotypée inappropriée à ce type d'agression, ... ce qui souvent en accroît l'impact négatif.
L'organisme et le cerveau étant "dépassés", il y a dérégulation de tous les systèmes nerveux et endocriniens, l'épuisement est atteint, les hormones de stress ont libéré à saturation des substances qui coagulent le sang (risque d'AVC, ...), de plus cet état est un effet suppresseur sur l'immunité.
Une kyrielle de troubles apparaissent, cela génère un affaiblissement et petit à petit un état dépressif va s'installer, avec une altération des capacités de raisonnement qui, dans certains cas extrêmes, conduisent au suicide : c'est l'un des aspects d'aboutissement de ces mécanismes que l'on appelle le syndrome des micro-ondes.